Je n’arrive pas à choisir entre l’absence de passé et l’adrénaline en continu
(La mémoire 0 – Le savoir 1)
Posts Tagged ‘télé’
La certitude du doute…
Posted in La certitude du doute..., tagged addiction, adrénaline, amnésie, apprendre, BFM TV, chaîne info, CNN, comprendre, dépendance, drogue, fow news, i télé, immédiateté, lci, média, mémoire, savoir, télé, tnt, vitesse, voyeurisme on novembre 27, 2009| 2 Comments »
La certitude du doute…
Posted in La certitude du doute..., tagged 20 ans, information, Jean-Pierre Lux, Jo Maso et Jean Dunyach, La commission de discipline de la FFR, la tournée du XV de France en Nouvelle-Zélande en juin, Le trois-quarts centre international parisien, Le Zapping de Canal +, Marcel Martin, Mathieu Bastareaud, média, Michel Denisot, Nouvelle-Zélande, Pierre Camou, président de l'UCPR (Union des Clubs Professionnels de Rugby), président de la FFR, rugby, Serge Daney, télé, télécommande, une peine d'intérêt général, une suspension de trois mois, vice-président de la LNR, Wellington on septembre 28, 2009| Leave a Comment »
Je n’arrive pas à choisir entre le malade imaginable et la téléphagie selective
(Mathieu Bastareaud 0 – Le Zapping 1)
Ghost Post : La peur de réussir du « Méchant »
Posted in 36 15 Me Myself & I, tagged coyote, dr gang, Jr ewing, méchant, morale, pression, série, serials killers, société, télé, télécommande, téléphage on juillet 8, 2009| 2 Comments »
Durant ma longue carrière de téléphage, j’ai dû subir la dictature du bien, du bon et du beau.
J’avoue avoir été tiraillé entre le réflexe conditionné de bonne conscience collective et le besoin de despotisme éclairé que chacun recherche dès qu’il fait acte de sociabilisation.
Outre les valeurs normatives d’une logique de production espérant être bénéficiaire, la figure du mal ne fait pas suffisamment recette dans le régime de la transgression sans punition.
À bien y réfléchir, le fait de revendiquer ouvertement ses projets de management à l’échelle mondiale au nom de son surmoi, cela indispose les prétentions du quidam qui oscille entre ces éphémères richesses matérielles et ces coïts anodins mi adultères, mi pédophiles.
Et si, et si le « méchant » n’était pas bêtement le héros de l’histoire – les plus malhonnêtes d’entre vous s’engouffrent dans le contre-emploi à la mode, on ne peut pas faire d’une exception, un exemple – mais s’il avait le mot de la fin, les responsabilités et la pression sociale ?
Quid de la psychologie du Coyote, des serials killers, de Chuck Bass, des fonctionnaires zélés, du Dr Gang, des rappeurs/gangsters, de Gargamel, des hotliners de votre opérateur téléphonique le plus proche, de Jr Ewing et de tous ces dictateurs issus du Moyen Orient ou d’Afrique, enfin les noirs et les arabes à forte tendance musulmane dont personne ne veut jamais se rappeler le nom.
La fonction morale du méchant est-elle plus importante que sa nature humaine ?