Je n’arrive pas à choisir entre Pose ton Gun et Fast and Furious
(Cagoule 0 – Eric Besson 1)
Posts Tagged ‘sans papiers’
La certitude du doute…
Posted in La certitude du doute..., tagged étranger, cagoule, droit de l'homme, eric besson, expulsion, France, Jean-François Picard, lycée Jean Monnet, Neudorf, sans papiers, Strasbourg on mars 31, 2010| Leave a Comment »
La certitude du doute…
Posted in La certitude du doute..., tagged 300 et 2000 euros, Albanais, benoit XVI, bordeaux, Bulgares, Citoyen du monde, communisme, faux certificats médicaux, Joran Suils, l'idéologie athée, la lumière de la foi continue à guider cette nation, la maison d'arrêt de Gradignan (Gironde), la médecine douce, la Révolution de Velours de 1989, RACINES CHRÉTIENNES, République tchèque, sans papiers, Sud Ouest, Turcs, Vaclav Klaus on septembre 26, 2009| Leave a Comment »
Je n’arrive pas à choisir entre l’extorsion médicale et le monopole légitime
(Serment d’Hippocrate 0 – Benoît XVI 1)
Ghost Post : Histoire de sans papiers
Posted in Non classé, tagged %, échec, BAC, bacalauréat, chômage, faculté, juillet, lycée, lycéen, mention, moyenne, obtention, précarité, résultat, réussite, sans papiers, université, voie de garage on juillet 6, 2009| 1 Comment »
Il fut une époque où j’habitais une tour chancelante en face d’un lycée usagé.
Chaque année, même heure, même punition, c’était le même rituel, entre gueules de bois prémonitoires et industrie du Kleenex, un bout de papier allait séparer les Hommes fonction de leurs k€.
Au début du mois de juillet, l’autre côté du trottoir était le théâtre de la satisfaction du juste, des soulagements complices, de victoires usurpées et des larmes coupables.
Des accolades pragmatiques aux euphories hormonales, les réjouissances collectives laissaient secrètement place à l’ère des ambitions, sans cette dignité se cachant dans les livres.
Une fois le fixe d’avenir radieux dans une sordide faculté inhalé, les perdants du jour, voire de toujours, traversèrent le dit trottoir afin de siéger sur un de ces bancs de fortune qui jouxtaient péniblement le mien sous ce soleil teinté dans ma cuvette lyonnaise.
D’une envie de suicide provisoire à un besoin de solitude sans conjugaison, tous les moyens sont bons pour combler le trajet jusqu’à la maison où la réponse définitive précèdera les cris primaires ou le misérabilisme compatissant.
Sur leurs visages, le plus lucide des alcooliques en herbe pouvait lire que la norme sociale et la prise d’otage familiale avait eu raison de leur futur, le temps d’une année.
Entre les sanglots de circonstance et les regards vides de sens, le monde allait donc se résumer à une histoire de papier, enfin de sans papiers, de ceux qui font les pédigrées à ceux qui peuvent tout acheter.