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Posts Tagged ‘marcher’

Mes nuits au pluriel sont toujours plus courtes que cette routine impersonnelle où la fin du coma naturel flirte avec un début de bad trip légal. Que j’aimerais avoir une gueule de bois pour donner un sens à tout ça ! La tête scotchée durablement à mes draps plus tout à fait blancs, mon faciès médusé imprimé dans ceux-ci, le frémissement soudain des doigts de pied homologuant mon activité cérébrale, je perçois le terminus sans le définir, mais je préfère les accidents domestiques de ma moitié à l’ordre nouveau du réveil matin grimé en info continue, et vu que toutes les répétitions qui se respectent n’ont de sens que dans la ritualisation, mon chat parachève ma mise à vie, en s’empressant de venir me violer affectueusement, puis de ronronner pour se délecter de son méfait.

Une tasse de café, froid qui plus est, quel jugement impitoyable, un constat d’échec à l’amiable, le muscle renonçant avant d’avoir essayé, je doute de vraiment trouver des réponses épistolaires à mes rêves inachevés dans la torréfaction équitable. Le matin est ainsi, une juste mascarade à la mesure de l’escroquerie du reste de la journée.

À peine sorti de ma tanière en location que le sol national me tombe dessus comme pour mieux me faire suivre le mouvement de la marche en avant. Mes pieds dansent ou titubent, c’est au choix, pour justifier à qui veut le voir mon appartenance à la gravité. Adieu public, personne à droite, personne à gauche, que des gens autour qui à tous faire pareil, à tous faire semblant, à tous se rentrer dedans pour ne pas se regarder, s’évanouissent à l’apparition du moindre grognement mécanique. Les casque greffé à même les oreilles, les employés – poliment rebelles – de l’industrie musicale pour seule compagnie, le temps s’arrête durant ma playlist qui est logiquement la même que la veille, qui elle-même était la même que la précédente, vous savez le changement c’est la fin, et l’Homme n’est plus assez curieux pour avoir peur.

Je regarde droit devant – pour ne pas fixer mes baskets – comme si la vérité allait m’arriver en pleine face, juste pour moi, mais elle ne vient jamais, la garce. Et puis je ne suis pas certain de savoir quoi en faire, après tout, c’est le mensonge qui nous garantit ce bonheur qui fait que l’on sourit sans réfléchir dès lors qu’un rayon de soleil vient caresser notre emballage. Je reperds enfin mes esprits, le pas manufacturé, discipliné et vaguement pressé avec une ligne droite dans la rétine, même lorsque les artères urbaines dévoilent leurs plus beaux pleins et déliés. En bout de course, au point de départ, les lignes d’arrivée n’existent que pour nous convaincre de recommencer, toujours et encore, sans savoir pourquoi et parce qu’il faut bien.

Je sais, je sais, je cherche le vide en moi en plein néant, il y a d’autres façons plus utiles de perdre son temps…

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Sans argent, sans repères et sans avenir, mais où aller ? Au centre commercial, voyons ! Et en courant qui plus est !

Je me rappelle encore de l’excitation palpable qui était la mienne au moment de me précipiter l’air hilare vers un ennui profond, propre, à escaliers, à escalators, à issues de secours, rien que pour ne pas faire les 100 pas en bas de chez moi. Alors, la promesse de quitter quelques heures ces murs scarifiés qui ne tiendraient pas sans nous ou de laisser sur le bord de la route ce banc fatigué qui portait mes initiales ainsi que l’empreinte encore fraîche de mon postérieur, cette perspective m’enivrait de la même manière à chaque évocation. L’essentiel résidait dans cela, sûrement dans mon veau d’or – avec extincteur intégré – où je n’avais aucune responsabilité architecturale et encore moins de pouvoir de coercition sur mon sphincter. Dans ce lieu libre entretenu par une chape de plomb, l’anonymat providentiel côtoyait sans y prêter gare l’indifférence ordinaire. Plus de classes, plus de genres, juste des gens, seuls et ensemble…

Je sais, je sais, j’aurais pu faire montre de l’une de ces attitudes studieuses dont font preuve les spécimens dits immigrés et assimilés ou courir sans réfléchir après un ballon, mais la domestication parfaite et la vie d’un groupe contre un autre ne m’attiraient que peu, et puis ce n’était pas comme si je n’avais jamais essayé ! Mais l’assimilation d’un corps étranger, à même le pupitre, par manuel scolaire a fait remonter en moi un frisson que ma mémoire ne connaissait pas, sans oublier que la plupart des réjouissances compétitives étaient mère de cette ambition qui aime tant la trahison. Je passe mon tour et laisse ma place avec plaisir. Ceci étant, cette brève expérience m’a enseigné que j’avais un mal fou à jouer sans faire mal, allez savoir ?!

Et parfois, en ne voyant pas l’intérêt de demain après la sortie salvatrice de 16h30, je me laissais happer par le reste de la semaine, au hasard de l’une de mes pauses hygiéniques sur mon banc personnel – entre « Les chiffres et les lettres » et « Une famille en or », d’après la fenêtre de la concierge. C’était avec stupeur que je ne voyais plus, peu ou pas les crachats d’usage joncher le sol, ceux-la même s’enorgueillissant d’avoir la main mise sur notre système de communication géolocalisé ! Nous étions déjà samedi et personne ne m’avait tenu informé, soit en enfonçant un bâtonnet dans l’interphone pour sonner l’alerte ou soit en criant par la fenêtre en l’agrémentant de quelques insultes de base. Il faisait désert dans le square, il ne restait que les nostalgiques de la guerre d’Algérie et de la gégène pour garder le contact visuel avec les mères de 16 ans qui surveillaient avec la plus grande des concentrations leur cigarette se consumer plutôt que leur parasite dans la poussette. Il me fallait bien sortir de mon banc, et au moment de monter dans le bus – malédiction ! – que pouvait faire un homme, de 12 ans, seul face à une demi douzaine de contrôleurs des TCL ? Pas grand chose en vérité, je me suis donc résigné à acheter, puis à composter un ticket, en attendant patiemment la bousculade générale organisée à la fin du voyage retour !

Le centre commercial, mon royaume, mon home sweet home, pour lui j’ai combattu même avec des hématomes*. Une addiction reste une addiction même légale et c’est la pupille dilatée, les lèvres pincées et la gorge sèche que je retrouve celle qui promet beaucoup, mais qui ne donne jamais rien, si ce n’est un échantillon d’une nouvelle tentation.

Face à mon regard déjà acéré, un immense monstre métallique déjà usé à quatre étages m’ouvrait son antre faite d’enseignes tapageuses, de cartes bleues muettes et de sa fourmilière disciplinée au possible. J’étais donc au rendez-vous, comme à chaque fois pour faire le pot de fleurs et le décor zoologique. Ce qu’il y avait de sain dans notre relation, c’est que je n’avais rien à vendre et encore moins à acheter et ça, la bête vitrée le savais. Je n’étais pas là pour le plaisir, mais pour affaire, notre affaire. Une histoire de temps qui passe, qui lasse, qui laisse, voilà quel était mon fond de commerce entre vide et néant.

Tous les mercredis et samedis de ma grande enfance, sans exception – angine, punition ou Thc – étaient dévolus à l’inertie entre congénères se ressemblant suffisamment pour se détester sans se connaître, à la perte de toute dignité en présence d’un début de poitrine, au moyen de trouver un problème musclé à chaque solution pacifique et, sans omettre le truc du pauvre à la limite du masochisme à travers les âges, la consommation par procuration ou par prospective qui n’arrive jamais. J’étais à mon aise dans ce faux rythme où de loin tout va lentement, mais en grossissant la caricature, je m’apercevais que tout le monde courait tête baissée, en famille, en solitaire, avec pour unique pénitence le prochain dealer de signes extérieurs de richesse, l’impôt du parking toujours automatique mais jamais habité ou la sortie principale pour ceux abandonnant leur rêve précaire pour le luxe d’une vie bien à soi. Les seuls possédant le recul nécessaire étaient ces vigils, plus silencieux que décérébrés et dont tout le monde préjugeait de leurs petites, si petites pensées, ainsi que les techniciens de surface invisibles que personne n’ose bousculer de peur d’accepter leur existence dans ce petit paradis tout droit sorti d’une liste en papier glacé. Eux étaient à la fois témoins privilégiés et prisonniers salariés de cette course contre la montre, ce compte à rebours où les plus fous amassent tout ce qu’ils peuvent en espérant qu’on ne leur dira rien au check-out le cœur léger, les pieds devant et les poches pleines.

Comme d’habitude, je suis en train de me perdre dans ces dédales et je vous y entraîne également, mais la répétition est la clé de la paix. Emprunter le même étage, le même escalator, le même demi-tour, voilà une petite mort bien agréable. Je trouvais presque à chaque fois une raison évidente à exposer à mes détracteurs – les amoureux de l’amour et les extrémistes de la liberté – pour crédibiliser mon apathie. Au moins, je ne faisais rien de pire et cette réponse suffisait à leur malheur. C’était le ventre plein et les poche arides que rien ne pouvait me tenter, j’étais en osmose pour stagner en avançant. Entendons-nous bien, tourner en rond machinalement les uns derrière les autres – au risque d’un carambolage – cela n’avait rien de fétichiste, mais c’était le seul choix pour ne pas perdre la tête, je n’avais ni les moyens ni le profil d’acheter du spleen et l’inertie était plus légitime à mon sens que les râles pseudo dépressifs. Je vivais dans une cage à lapins avec ma famille, alors quoi de plus normal que de passer mon temps libre dans une roue pour hamster ? Au final, c’est pendant ces moments que j’ai cultivé mon obsession pour le temps et mon indifférence pour l’argent.

La particularité du centre commercial, c’est sûrement sa fascination pour l’anticipation de tous les calendriers quels qu’ils soient et le besoin qu’il a d’expulser, la nuit tombée, ceux qu’il retient captifs malgré lui. Le paroxysme de ce phénomène se manifestait lors du respect mercantile des festivités religieuses. J’étais ainsi tiraillé entre mon hérésie de circonstance et mon œcuménisme opportuniste. Dans cette perspective, j’ai longtemps attendu l’avènement de Noëlouka dans les étals monothéistes, mais les décorations envahissantes et hypnotiques de la fin d’année scelleraient à jamais mon iniquité envers l’obèse sans papier qui défiait l’apesanteur. A titre personnel, je n’ai rien contre Noël en tant que tel, mais la combinaison religion, marketing, crédulité et pouvoir d’achat me donnait la nausée ou une idée de plan de carrière.

C’est mon centre commercial à nous ?! Oui, ça a l’air fou à entendre, mais dans les faits, c’était le cas. L’autre événement théologique qui tenait en haleine tout le centre commercial était la veille du Ramadan et ses violences, fantasmées, espérées, chorégraphiées, scénarisées. De mémoire de sauvageons on n’a jamais su si l’obscurantisme républicain avait généré cette étouffante situation ou si trois déficients mentaux au milieu de suffisamment de moutons avaient créé le phénomène. Toujours est-il que le samedi précédant le début du Ramadan un étrange rituel se réitérait : d’une part, tout ceux qui portaient une casquette étaient d’office catalogués dans la catégorie musulmans, même les Sylvain, surtout les Sylvain, ça fait agent double comme matricule – parole d’un membre ardent de la B.A.C. – et puis, surtout, il ne fallait pas se regrouper à plus de cinq. Mais quelle est cette science sans logique ? Si je voulais m’ennuyer seul, la télévision avait été inventée pour cela et, de plus, cette interdiction retardait l’apprentissage des civilités en milieu hostile, j’entends par là « espace économique récessif ». Au final beaucoup de bruits de part et d’autres, beaucoup de bruits pour rien. Soyons cohérents, qui irait se parer de ses habits de lumière made in China pour aller s’offrir en pâture sur l’autel de l’insurrection religieuse, banlieusarde et sociale – à vous de voir Mesdames et Messieurs les journalistes – certainement pas une personne qui passe l’intégralité de sa vie à parler avec ses mains pour ne jamais les utiliser !

Et l’agitation annuelle enfin passée, les uns jeûnaient, les autres ne pouvaient plus attendrir de l’arabe durant un mois et moi, comme la coutume le voulait, je passais du Mac bacon au Big mac, moins cher et meilleur à la fois ! Je vous entends déjà les juges en freelance et les lésés de ma part de burger, mais à force de laisser une bouchée à tout le monde, il ne me restait jamais rien à la fin, j’ai donc dû prendre les dispositions drastiques qui s’imposaient en étendant cette hygiène économique aux soirs d’extorsion sur fond de solidarité et de Kleenex depuis mon banc de salon !

* Cf. LP « Entre deux mondes »

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Faillait que j’sorte d’ma tête, comme mon amour propre, après une gueule de bois de trop.

J’avais besoin de parler et ma conversation ne suffisait plus.

« Quoi aujourd’hui ? M’entraîner à mourir ?

Pfff, pour changer , j’vais apprendre à mentir. »

 

 

 

J’ai pris mes jambes à mon cou, au ralenti, histoire de faire semblant.

Fuir, ça demande trop d’effort, alors essaye d’abord, tu me raconteras.

L’atmosphère a une fuite de sphincter à la nuit tombée.

Cette fille de joie sur la réserve préfère se rincer l’œil plutôt qu’avoir les mains sales.

 

 

 

C’est l’heure d’hiver, black out dès 17 h, terminus tout l’monde descend.

Le chassé-croisé entre les sorties de classe et les pédophiles diplômés.

Trop tard pour l’open bar chez l’arabe et trop tôt pour l’after chez ta femme.

Les chômeurs héréditaires tapissent l’horizon, plantés là au hasard des liposucions des ronds-de-cuir.

 

 

 

Y’a comme une odeur de fin du monde ou de fosse septique dans la bouche de métro.

Certains portent leurs couilles sur le visage, les autres une alliance dans leurs poches et la peur au ventre.

Moi j’porte un masque d’occasion, c’est mon daron qui me l’a prêté, j’me fait chié, mais j’serais jamais en danger.

L’asphalte baise trop souvent avec les vivants pour aimer s’en souvenir, alors j’oublie les cons qui me croisent.

 

 

 

 

Vision périscopique et le mal de mère. Ok

Panorama dépressif et les rétines dilatées. Ok

Marche forcée et traînage de patte en puissance. Ok

Gomme usée et une bonne circulation sanguine. Ok

Ligaments croisés et pas de crise d’asthme. Ok

Lacets défaits et jamais refaits. Ok

Pause syndicale et syndrome du cul sur un banc. Ok

 

 

 

J’ai l’alcool mauvais et la sobriété mélancolique, le décor se ramasse la gueule ou à la petite cuillère.

Affronte ça comme tu peux.

 

Ecoute, soit tu passes ton temps à fixer le sol à la sortie du bureau soit t’as du temps à perdre avec des garde-à-vue artificielles. Moi, je joue au fantôme.

 

 

À chaque fois c’est la même chose, mais j’recommence.

J’retombe nez à nez avec cette cabine téléphonique trop maquillée pour être honnête, mais j’ai pas un copec et personne à appeler.

 

Alors, j’continue à marcher, toujours et encore.

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the limits of control

Je donne plus l’oreille que je ne prends la parole, j’ai l’humanisme économe.

À la croisée des chemins, on se trompe de route afin d’avoir un entretien avec le destin, même si je ne le comprends pas en suivant mon instinct.

Le silence fait partie de mon histoire sans fenêtre sur vous, ni porte de sortie pour vendre une morale donnant un sens à mes actes.

Allez savoir qui je suis derrière mon masque fait de chair et de sang, ce que je sais sur mes commanditaires comme mes victimes et où je vais d’un pas meurtrier tel le temps qui passe.

Ma mélancolie est assassine et mon tourment est une tombe d’où je ne m’extirperai qu’au dernier souffle.

Mais un doute subsiste lorsque l’on fixe machinalement les cibles mouvantes plutôt que cet horizon bancal plus résigné que fidèle.

Et le planisphère ? Il nous écrase de toute son autopsie, de toutes ses rides guerrières.

Je préfère le paysage aux voyages !

Une ville reste une ville, ces odeurs de peur quand les pas claquent sur le sol en se faisant de plus en plus pressants, le bruit des ruelles orphelines de la lumière du jour, son visage raisonnable pour le tourisme plastique, son charme pour les cartes postales, sans oublier son calme invisible et anonyme.

Ce qui me plaît le plus ce sont les fenêtres, on devine ce qu’elles cachent négligemment, on se protège dans leurs angles morts, pour ne pas être de vu, pour rester méconnu.

J’ai cet instinct de conservation presque animal qui me préserve de ce mauvais goût bien humain pour l’héroïsme de manuel scolaire.

Alors mon nom n’est qu’une anecdote dans le monde des illustres qui cherchent des échos à leur nostalgie dans un regard, dans une guitare.

Une clef fatiguée, une porte à la fois étrangère et familière, un lit d’infortune pour une personne, un cendrier vide et un horizon imparfait me renvoyant à mes respirations inégales.

Peu importe l’endroit, c’est la même chose, sans les mêmes gens…

La limite entre habitude de l’usine humaine et paranoïa des oppressés de service ? Ceux qui en parlent en observant ceux qui sont censés le vivre, ils doivent avoir plus de réponses que de questions.

À force de me demander constamment ce que j’aime, je vais finir par savoir ce que vous pensez.

De retour à la case départ en avançant sur ma piste, le décor habite mes songes éveillés, quitte à y laisser leur mémoire.

J’entends des voix, mais je préfère les mots.

Je pourrais apprendre ta langue, mais tes hésitations en disent long !

Va savoir ce je fais du temps qu’il m’est est arbitrairement imparti puisque la petite mort ne m’attend plus ?

Si l’information c’est le contrôle, nous devons être bien suicidaires!

Le problème des messagers en transit qui rêvent d’être des passagers en stand by, c’est qu’ils oublient que les autres peuvent épouser la solitude.

Dans le doute, on confond mystère et zone d’ombre, mieux vaut ne pas comprendre que de ne pas savoir dans le vaste monde.

Me taire, apparemment, c’est ce que j’ai de mieux à dire.

Le temps est aux adieux, nullement aux présentations.

Les choses commencent et se terminent dans un aéroport, là où les hommes viennent de nulle part et vont forcément quelque part pour quelque chose ou quelqu’un !

J’atterris paisiblement, j’arrive tranquillement, je pars sur la pointe des pieds, mais ne peut me résoudre à rester ici. Le mouvement, c’est tout ce qu’il me reste.

Avoir plus de solitude que de questionnement, voilà bien la seule preuve que le silence existe.

Les images défilent à vive allure comme pour mieux satisfaire la boîte à souvenirs.

Je ne prends pas de plaisir particulier dans mon travail. Comme les autres, les plans se suivent mais ne se ressemblent pas, tout est une question d’imagination.

Les hallucinations modernes ne valent pas les pertes de conscience d’antan, quand tout n’était que supposition et illusion.

Je suis parti comme je suis venu, sans un bruit, sans un mot, il ne me reste qu’à choisir entre les limites du contrôle et le contrôle des limites.

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