Je n’arrive pas à choisir entre la loi du néologisme et la théorie des fusibles
(Ri-Lance 0 – Joyandet et Blanc 1)
Posts Tagged ‘gouvernement’
La certitude du doute…
Posted in La certitude du doute..., tagged Alain Joyandet, Christine Lagarde, croissance, Déficits, Etats-Unis, europe, François Fillon, gouvernement, Nicolas Sarkozy, polémique, ump on juillet 4, 2010| 1 Comment »
La certitude du doute…
Posted in La certitude du doute..., tagged 28 août, 7 octobre, Bernard Thibault, besson, cfdt, CFE-CGC, cgt, cirque, Comme en boîte de nuit, crise, délégué national de l'union des syndicats de la police Unité-SGP FO, eric besson, France, FSU, gendarmerie, gouvernement, l'Union régionale Ile-de-France, La capitaine Poupot, la communauté Rom, les communes d'Ormoy et de Villabé, ministre de l'Immigration, Roms, sarkozy, Six organisations syndicales, Solidaires, Solidarité avec les familles roumaines, tatoué, Unsa, Yannick Danio, Yves Bouyer on septembre 8, 2009| Leave a Comment »
Je n’arrive pas à choisir entre tatouer le bétail humain et le retour du cirque syndical
(Éric Besson 0 – 7 octobre 1)
La certitude du doute…
Posted in La certitude du doute..., tagged departement, fraciliens, François Fillon, gouvernement, grand paris, kennedy, l'emprunt, necropole, obama, reforme du système de santé, region, ted kennedy, transport, une dynastie de légende, usa on août 26, 2009| 1 Comment »
Je n’arrive pas à choisir entre la fabrique nécrologique et la nécropole futuriste
(Les Kennedy 0 – le Grand Paris 1)
Ghost Post : « Plus belle la vie » et l’éducation civique
Posted in 36 15 Me Myself & I, tagged afrique, assemblée nationale, État, brice hortefeux, fillon, gouvernement, le mistral, morale, Parlement, pasqua, plus belle la vie, politique d'intégration, politique de la ville, sarkozy, société, valeur on juillet 12, 2009| 10 Comments »
Rare sont ces instants de pur bonheur télévisuel où la boîte à image nous donne une leçon de civisme pragmatique, voire de modèle de société.
Le choix de la passivité assumée devant l’écran équilibre les obligations d’actions électorales, ceci permet au libre arbitre et à l’arbitraire de coexister durant la même demi-heure.
Certes « Plus belle la vie » est un reflet informant de l’esprit républicain à avoir et aussi invoqué en vain par l’exécutif dans le débat public.
Mais le système de narration basé sur l’omniscience n’est pas étranger à cette admiration pudique, qui se situe quelque part entre le voyeurisme intimiste et l’exhibitionnisme des jours de gloire.
Dans l’ère du divertissement à tout prix, il est parfois assez anodin de passer du message au massage, car le premier n’a de sens que si sa cause pratique l’empathie et le second n’a de cause que s’il est empathique avec toutes les pratiques sans sens.
Parmi les grosses ficelles de Plus belle la vie, voici celles qui promotionnent le plus le projet quinquennal :
– les prises d’otage doctrinaires à la chaîne et le terrorisme de la peur potentielle, font office de témoin oculaire du Journal Officiel et des ces lois estivales, tout en promettant un chaos de poche à tous les anti truc, ainsi que les pro machin en cas de crise d’égocentrisme avérée.
– la solidarité de proximité et l’humanisme occasionnel via le culte du compassionnel entre Sdf sur la voie de la rédemption et sans papiers sur le chemin de l’aéroport.
– les mœurs solubles dans l’économie et la morale à la gueule du client en prouvant que la trahison au nom de la réussite est pardonnable si elle profite à un moment donné à la communauté, même partiellement.
– le sexe et le cul, sont deux choses différentes, le premier échafaude un organigramme et le second n’est qu’un vulgaire organe, d’un côté il y a un contexte de l’autre se trouve son prétexte.
Ce programme d’anticipation parie sur le principe du déjà vu pour se fabriquer un passé cohérent.
Afin de déculpabiliser nos têtes pensantes, garantes d’une certaine consanguinité culturelle, la norme a décidé de nous imposer des minorités visibles au gré des trous médiatiques et des flashbacks mémoriels.
Si j’étais bêtement de gauche, je me dirais pourquoi pas, mais sachant que le but se place plus au niveau de la repentance à bas prix que de la représentation par le haut, j’avoue être dubitatif ou peut-être insuffisamment intégré.
Une scène de « Plus belle la vie » m’a interpellé ces derniers jours, une discussion entre un individu A vieux, blanc, riche et vicieux et un individu B jeune, noir, pauvre et vicieux.
Le premier emploi le second afin qu’il espionne un tierce partie pour obtenir de quelconques informations sur une association du Centre Afrique que l’individu A subventionne.
Avec ces données, l’individu A va pouvoir rompre le contrat humanitaire qui le lie avec la dite structure en Afrique, et là, dans un esprit à la fois paternaliste et tribal, il demande à l’individu B si cela ne lui pose de problème de conscience d’enlever le pain de la bouche de ses semblables.
Celui-ci de lui répondre, avec ce sémillant accent de racaille qui sied à merveille à nos minorités visibles, par un laconique et révélateur « moi j’suis Français ».
« Plus belle la vie » a réussit là où toutes les politiques d’intégration et de la ville ont échoué.
La certitude du doute…
Posted in La certitude du doute..., tagged étudiants, chômage, crise, fillon, gouvernement, grêve, manifestation on mai 14, 2009| Leave a Comment »
Je n’arrive pas à choisir entre la mobilisation et l’immobilisme
(les gouvernés 0 – les gouvernants 1)