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Posts Tagged ‘Aubry’


Je n’arrive pas à choisir entre les primaires et les playoffs
(DSK 0 – Kobe Bryant 1)

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Je n’arrive pas à choisir entre le prix de la pénibilité et le plagiat d’une polémique
(60 ans 0 – James Cameron 1)

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PEILLON Vincent

Je n’arrive pas à choisir entre le tour préliminaire et la déprogrammation définitive
(Vincent Peillon  0 – Doudou Topaz 1)

Doudou Topaz

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petits meurtres entre amis

Je n’arrive pas à choisir entre un petit meurtre entre amis et la parole du temps
(PS 0 – CSA 1)

temps de parole

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BHL

Je n’arrive pas à choisir entre un appel au meurtre et une opération de communication
(BHL 0 – Madonna 1)

Madonna

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une marchande

Je n’arrive pas à choisir entre la boulimie de sondage et l’anorexie de programme
(Les clients 0 – Les vendeurs 1)

vendeurs d'élections

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Parti socialiste

Je n’arrive pas à choisir entre le mariage de convenance et le manque à gagner
(Le Parti Socialiste 0 – 684 kilo de cocaïne 1)

consommation personnelle

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européennes

Je n’arrive pas à choisir entre l’essentiel et l’artificiel
(Européennes 0 – Présidentielles 1)

france

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1-er-mai

Je n’arrive pas à choisir entre le séparatisme et l’arbre à future pollution
(Ségolène Royal 0 – Jatropha Curcas 1)

jatropha-curcas

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election-europeenne

qui négociera le reste d’idéal aux citoyens



En politique comme à la guerre, la stratégie est aussi importante que le trash talk.

L’image fait les actes et la parole est l’avocate d’un diable sans mobile apparent.


Du bipartisme ancestral aux ambidextres de saison, qui négociera le reste d’idéal aux citoyens ?


Les clients des idéologies vendues en démocratie ne savent que choisir depuis que l’économie parachute les hommes d’État au gré des crises.


Entre les accusations dignes d’une cour de récréation et les invectives feutrées, on pourrait croire que la nature du débat est la diversion commune.

Posséder plus d’ambition que de talent, c’est peut-être cela la meilleure des politiques.


Quand la présomption de culpabilité cautionne la certitude d’absence de pouvoir, il n’y a plus rien à voter.

L’immédiateté comme norme et la culture du résultat par coup d’éclat ont fabriqué la modernité à tout prix laissant peu de place à la noblesse des idées.

Une bassesse judicieusement placée face caméra vaut toutes les explications du mécanisme institutionnel.

Avoir un programme de fond à étayer en moins de 30 secondes et un projet d’avenir ne tenant pas sur un tract, quel suicide électoral !

Cela paraît bien illusoire face à des slogans formant des œillères et aux fanatiques modérés d’une campagne ou d’une nuit.

La diversité et le nombre des festivités démocratiques produisent une concurrence déloyale entre les élections structurelles et les concours de popularités.

Les scrutins sont faits pour être remportés, peu importe les conséquences, les jouisseurs en freelance ne sont plus des serviteurs républicains.

Quand la taille des entres jambes détermine la valeur d’un candidat ou d’un parti, il n’y a plus rien à voter.

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