Feeds:
Articles
Commentaires

Posts Tagged ‘2007’

Apparemment, tout le monde doit trouver sa place ou être à la sienne, même moi. Je baissais donc la tête – plus par habitude que par lâcheté –  pour être sûre que l’on ne m’en alloue pas une, par erreur en connaissance de cause, par hasard en toute bonne foi, par certitude pour mon bien. Allez donc savoir ce que je suis, vous, cachés derrière vos masques trop transparents. Connaître qui je suis, c’est ça le drame commun, l’anonymat nous préserve tous de l’attachement !

Mais lui, hum, lui, l’ombre dans ma rétine, hum, lui, je l’avais dans la peau comme il faut l’avoir, je l’avais dans mon cœur en éponge, prêt à accepter n’importe quelle offrande pourvu qu’elle comble quelques instants ce vide sans nom propre. Une première fois, c’est toujours une première fois, ça ne ressemble à rien, à rien de comparable, à rien de mémorable. Ça te ressemble en y repensant.

Ce rien, je le voyais maintenir en captivité ces deux faiseurs d’enfants – pieds et poings liés, toujours pratiquants, mais jamais croyants – qui réclamaient la reconnaissance de leur autorité dans chacune de leurs respirations : à table une fourchette à la main, à Noël les cadeaux sous le sapin, dans le salon la télécommande à la main, à la nuit tombée un toit sur la tête. Leur peine à purger dépendait uniquement de mon frère et moi, je ne sais pas comment leur faire payer ou les exhausser !

En attendant ce jour bénit, j’aperçois – sans réellement pouvoir ou vouloir l’attraper – le temps se traîner lentement de toutes ses conjugaisons et j’admets à ce moment-là malgré moi, que je suis au point mort. Mais depuis quand ? À vrai dire, lorsque j’ai saisi que j’étais la fin de la chaîne alimentaire et le début d’un engrais idéal, j’ai cessé de donner un sens gratuitement à tout, à tout le monde.

Il en va de même pour mon mal-être et mes états d’âme – me servant autant d’alibi que de mobile – prévisibles et dispensables. Que pourront-ils ses signes extérieurs de détresse face aux regrets omniprésents et à cette culpabilité sous-jacente dont les fantômes ont le secret ? Pas grand chose, hein ! Hé merde, j’aurai dû être malheureuse au lieu d’avoir l’amour automatique…

L’amour, cela se cherche désespérément et certains ne le verront qu’à travers les autres, n’est-ce pas ? Celui que l’on a sous la main ne suffit jamais vraiment, il nous appartient déjà, il fait partie du passé au risque de l’oublier. Où est-il lui, maintenant qu’il me manque, lui l’anodin, le familier ? Celui qui n’attendait rien, vraiment rien et c’était ça son problème, mon problème, puisqu’il faut en avoir.

Je suis partie plus à la poursuite qu’à la recherche de ce fragment de moi qui fait que ne le suis plus. En chemin, à chaque nouveau visage, je perdais la mémoire des gens, des choses, des années au fur et à mesure que mon imagination négociait un shoot de bonheur à cette douleur totale et sans fin.

Je ne veux à aucun prix qu’elle ne s’arrête, elle est ma croix, mon poids à moi seule, ma part de purgatoire sur Terre que nul ne pourra m’enlever ni comprendre. Je ne sombrerai jamais en sa compagnie, jour et nuit, années après années, elle finira par te remplacer et je pourrai toujours et encore te courir après pour ne jamais te retrouver.

Ne pas savoir, c’est mieux que tout connaître. Quand on vit de réponses, c’est que l’on est déjà plus là, que l’on n’attend plus rien de personne. Donc, dans le doute pour ne pas comprendre à coup sûr cette absence en moi, je ne me retournerai jamais sur mes pas, par peur légitime de me voir disparaître de ton amour.

Read Full Post »

Juanita Castro

Je n’arrive pas à choisir entre le cumul des emplois et un non-lieu à Villiers-le-bel
(Juanita Castro 0 – Le code de la route 1)
code de la route

Read Full Post »

Me, Myself & I ou Le soliloque Particifactice

FullSizeRender 4.jpg

Endtroducing : Débat particifactice ou l’hégémonie du dialogue de sourds

Prenez Place Les Enfants & venez écouter ou entendre l’histoire avec un H moyen…

Il était une fois, Le Monologue participatif ou l’hégémonie du dialogue de sourds

Etymologiquement :

Débat
(nom masculin)
action de bébattre.

Un débat est une discussion (constructive faut il précisé) sur un sujet, précis ou de fond, annoncé à l’avance, à laquelle prennent part des individus (majoritaire ou minoritaire, visible ou invisible) ayant des avis, idées, réflexions ou opinions divergentes (ou convergente dans la synthèse médiatique) pour le sujet considéré.

Un débat peut s’exprimer sous diverses formes, la plus courante étant la réunion en un même endroit des personnes physiques mais il existe des débat sur le Web, des débats par vidéoconférence d’après la société de consommation ou téléconférence ou sms ou encore des débats spirituels qui échappent aux lois cartésiennes ou rationnelles, ces dernières appartiennent à l’époque hérétique des 70’s

Le Débat particifactice ou l’hégémonie du dialogue de sourds ,c’est le projet d’échange d’idées que propose les périodes électorales aux actionnaires du conseil d’administration, vous.

Nous, nous avons le choix d’appartenir à un ensemble de réflexions sur des problématiques explicitées par les faits d’hivers et de début de printemps, vous etes excusé durant l’été et pensez à vos congés payés, celui qui gouverne ment, travail à son assise depuis sa cour.

Tu as le choix (génétique) d’avoir un avis et d’y participer ou de te taire en étant un mauvais citoyen français ou un jeune déclinologue de banlieues, le débat extime par essence et particifactice par pragmatisme communiquant, initie une nouvelle ère la dictature du débat que l’on peut standardiser par besoin de rien, envie de quoi ? comme jamais envie de personne.

Ce poncif passé passons à ce que le con crée…

Aujourd’hui , ont a plus le droit d’arriver à nos fins, par la foi, traduction dieu ne sauvera pas nos chères oies enarquiènne de la débâcle institutionnelle qui se prépare perpétuellement, pendant que le navire franco/allemand démocratique coule au milieu d’un no man’s land économique, ni les rats, ni les femmes, ni les enfants, ni le ministère de l’égalité et des chance (sponsorisé par la française des jeux), ni celui de l’immigration et de l’identité nationale (parrainé par les voles charters et la torture façon gégène en haut débit) ne quitteront le rafiau républicain.

A ce point critique de notre conversation pour vos vieux jours, entre le réchauffement de la planète que chacun aura oublié son séant se crachant sur la plage, une 3ème guerre mondial propre vital afin d’équilibrer les contes de l’unédic et la réédition de l’œuvre complète de steeve boulay en édition de poche, opterez vous pour SDF ou ISF comme sigle ?

Les 5 secondes ce sont écoulées entre le vignette et de la devinette vous avez choisis votre parti…

Quitte à voter pour un candidat et un programme politique pour 5 voir 10 ans.

Pourquoi le peuple ne serait il pas par la présente le service après vente idéal, comment mettre en accusation ce que l’on a commis au yeux de tous, même des énuclées d’après un certain borgne en fin de carrière, mais pour cela il faudrait compter sur la conscience et la morale du quidam de base pléonasme en matière de législature et d’exécutif, ce qui d’après george besse et pierre beregovoy est une balle perdue.

Ainsi pour commanditer le crime parfait, invitons la victime à un dîner ou plutôt un Débat particifactice de con avec un mode d’emploi de son suicide, vous avez eu le choix d’avoir la parole, de participer à l’éducation civique de notre pays (hors dom-tom, cela va de soi sauf le 10 mai), et de vous assouvir dans le rôle de délateur en puissance hors de l’isoloir, entendez le son des bottes claquer près des halles d’entrés et cages d’escaliers

Avoir la culture de ses moyens et les moyens de sa culture…

Entre être ou avoir afin de posséder son logis, il faut choisir…
A présent vous avez acheté et vous etes devenu propriétaire d’une part de la démocratie en votant, venez aux frais de la princesse, c’est à dire vous, vous visiterez une maison témoin durant 5 ans, pour vous faire, un avis, une idée, sur mesure cela va de soit, façonnée par nos menuisiers éditorialistes , radio, presse, télé, qui sont des expert con-vaincu et reconnu.

Nous vous laissons le choix des larmes, ceci étant , nous , vos dirigeants, nous sommes quelques peu inquiets, du non l’abstentionnisme, ce qui nous fait dire, par voix de presse et cette tireuse d’ambulance vox populi, que la classe politique, s’est perdu dans votre estime, nous en sommes peiné.

Mais votre participation, et si primitive et non idéologique, elle est vitale à l’équilibre du pays, donc à votre survie, l’argument publicitaire de notre déresponsabilisation par l’absentéisme ayant touché à sa fin de cycle, nous reprenons de le jeu des ficelles du dialogue ou du string, tu aura toujours le choix de la couleur de tes liens sous les projecteurs des sondages…

C’est peut-être réellement cela, la définition du pays des lumières…
Vous avez le choix des urnes mes chers clients, parole de croc mort

Mieux vaut être un con vaincu qu’un cul vacant :

Aux larmes cit-moyen, former les sauvageons, téléchargeons, téléchargeons q’un son impur, abreuve nos si on… (nous n’avions pas concrétisé une bévu).

Pour ceux ne qui ne croient qu’en ce qui télécharge, de blog en myspace puis en facebook, c’est la démocratie des mots crasseux, chacun débat avec lui même et se forge son avis sur lui même c’est le règne du sonotone, quand même le rythme l’avenir d’une génération entre vie (sous perfusion) et mort (clinique) devient monotone.

La lecture des sens et le sens des lectures :

Gagner ou perdre, la n’est pas la question, ici réside la réponse.

C’est l’objet et non l’objecteur qui est en jeu, qui est en je, les dégâts collatéraux seront légion, l’histoire des Hommes à disparu au profit des promulgateurs de mémoires, la nation n’est plus indivisible, maintenant il y a des uns, des visibles…
Et peut être encore même quelques français.

Laids Maux de la faim : Pourquoi lire, ce qui ne se comprend pas, Pourquoi lire ceux qui ne comprennent plus…

« Quand le sens joue la représentation et ne se joue plus d’elle, l’expression relève de la schizophrénie éditoriale…
Quand les mots deviennent victimes de leur agressions, pour mieux se déresponsabiliser, on ne lit plus entre les lignes, on se perd dans le blanc que laisse es médias, les avis sont vide de but, ils coexistent avec leur contraires pour contraindre l’esprit une différence de façade.

Le semblable à le regard de l’unique, des une de journaux vendant l’avenir déguiser en fait, de petit être à penser de leur blessures politique d’enfance, s’analysent sous nos yeux, pourrait il rembourser nos abonnement en contre partie de la consultation »

 

Read Full Post »