Je n’arrive pas à choisir entre le sursis et la haine entre frontistes
(Total 0 – Marine Le Pen & Bruno Gollnisch 1)
Archive for juin 2010
La certitude du doute…
Posted in La certitude du doute..., tagged Bruno Gollnisch, Charles Foulard, coordinateur CGT, délégué Sud, DUNKERQUE, Flandres, Jean-Marie Le Pen, le patriotisme industriel, Le président du FN, Marine Le Pen, Pétrole, Philippe Wullens, Total on juin 30, 2010| Leave a Comment »
La certitude du doute…
Posted in La certitude du doute..., tagged Arjel, assemblée nationale, FFF, flop, Jean-Pierre Escalettes, la commission des affaires culturelles, les paris sportifs, poker en ligne, Pot Limit Omaha, rake, rakeback, Raymond Domenech, Roselyne Bachelot, thierry henry on juin 29, 2010| Leave a Comment »
La certitude du doute…
Posted in La certitude du doute..., tagged Bernard Désumer, Christian Teinturier, Fernand Duchaussoy, François Fillon, Frédéric Thiriez, garden-party, gouvernance, Henri Monteil, Jean-Pierre Escalettes, Laurent Blanc, Marie-George Buffet, Nicolas Sarkozy, Noël le Graët, président de la FFF, Roselyne Bachelot on juin 28, 2010| Leave a Comment »
Prévisions de l’observateur : Je ne fais pas bilan car je prépare mon prochain plan
Posted in Prévisions de l’observateur, tagged cinemaricana, History of the typewriter recited by Michael Winslow, http://www.matthoyle.com/, Ignacio Uriarte, typewriter on juin 28, 2010| 2 Comments »
«Blog Ô beau blog, dis-moi qui utilise le plus de bande passante sur ce blog ?»
À question rhétorique, réponse expéditive.
Sachez que je ne suis pas le genre de personne à tirer des enseignements et je vous laisse bien volontiers les jugements. Mais à l’heure où le blog va opérer sa vaginoplastie estivale, et à quelques posts de l’arrivée de votre série narrative de l’été — Sous 30° à l’ombre en attendant le 11 septembre — sans oublier Rythmes & mécanismes à la plage, je prends le temps d’interroger mon rétroviseur avant de foncer dans le mur de la rentrée. J’ai le cul entre l’auto-reverse et le crash-test.
Car à bien y réfléchir le temps me prend tacitement en otage et ma mémoire fabrique plus de regrets que d’histoire. Alors ce blog tient autant de la catharsis que du réquisitoire.
En septembre dernier en reprenant joyeusement les hostilités avec mon clavier azerty poussiéreux sous le bras, je savais déjà que cette année allait être sous le signe des vengeances nostalgiques et d’un futur à remporter à la roulette russe.
Et pour cause, au bout du canon ou de la crosse — je ne sais pas encore — il y aurait mes 30 ans. Un chiffre comme les autres avec un poids sur les épaules et des vérités toutes faites qu’il faudra respecter sous peine d’être exclu de la famille des Hommes.
Jamais je n’aurais pensé atteindre cet âge avec encore de la vie dans le regard entre l’usine voisine et la morgue prémonitoire, ma tour verticale et ma carte d’identité périmée. Disons simplement que j’ai eu de la chance et que les ennemis font de meilleures cibles que la fraternité en pleine misère.
Noir, c’est noir ? Franchement non, mais je propose au premier venu de mettre sa tête dans la merde dans laquelle je suis embourbé depuis que j’ai compris que je ne serai jamais chez moi ici. Pour autant, je ne suis pas devenu citoyen du monde, mon pays à moi, c’est ma boîte crânienne et… c’est tout ce que j’ai. Et nul ne me la prendra sans s’y perdre !
L’Observatoire Des Sociétés Mourantes a laissé place à l’observateur Sylvain Souklaye, car puisque je vais vivre suffisamment longtemps pour voir le droit du sol disparaître, je ne laisserai pas le monde s’écrouler sans lui demander pourquoi. Pour être honnête, je suis un piètre spectateur et museler ma grande gueule a été une épreuve qui m’a rappelé que je possédais une oreille. À présent les préliminaires s’achèvent, je ferai l’Amour, mais pas de prisonniers.
J’ai appris le «Je» cette année, alors que mon univers se résumait à des périphéries urbaines, des statistiques institutionnelles, des eux, des nous, mais jamais de moi. À toujours être responsable des autres à tord ou raison, volontairement ou médiatiquement, j’ai fini par m’oublier, défaites républicaines après débâcles scolaires. Mais se réaccaparer la première personne équivaut à une renaissance sans innocence ni naïveté à offrir à la foule kamikaze. Et en regardant mes cicatrices dans le dos et les fantômes dans ma cornée, je ne ferai ni le mal, ni le bien. Je le ferai proprement !
Mais certainement pas seul, alors que réserverai-je à l’avenir ? À vous de me lire…
——————————————————————————————————————————————————————————————————————
Ultime Inside my nombril et Rythmes & mécanismes RMX
Et donc cette semaine, au programme de ma boîte crânienne :
Mercredi 14 – Inside my nombril (5) : 31/08/2005
Lundi 5 – Rythmes & mécanismes S02 E04 RMX
Prenez le temps, avant qu’il ne vous prenne
Foutraquement…
La certitude du doute…
Posted in La certitude du doute..., tagged France 3 Ile-de-France, fraude fiscale, l'administration fiscale, L’Oréal, le fisc, Le procureur Courroye, le service d'ordre de l'Elysée, Liliane Bettencourt, Marianne, Nicolas Sarkozy, Patrick de Carolis, saint-denis, SNJ-CGT, trafic de crack on juin 25, 2010| Leave a Comment »
La certitude du doute…
Posted in La certitude du doute..., tagged 15 700 demandeurs d'emploi supplémentaires, 2 699 600 demandeurs d'emploi, 22 600 Chômeurs, 797.000 personnes, Bernard Thibault, cgt, fatalité, fin de droit, hypothèse, La baisse du chômage, La retraite, Le Chômage, le ministre du Travail Eric Woerth, manifestation, ministère de l'interieur, Pôle emploi, privé, public, réforme Fillon on juin 24, 2010| Leave a Comment »
Ghost post : Pause café et mauvais timing
Posted in 36 15 Me Myself & I, tagged 3Dmax, After effects, Alldayandday, BBDO México, CRU DE LADIES, Lemon Films, LIVING IN A PAPER WORLD, Nuke, ONLY SO MUCH TIME, Photoshop on juin 24, 2010| Leave a Comment »
J’ai la fâcheuse manie d’avoir l’imagination cannibale, voire boulimique, mais aujourd’hui aucune morsure. Je ne suis peut-être plus à son goût. Non, disons plutôt qu’un adultère entre deux jours ouvrables — fait de banalité citoyenne et de politesse économique — ne lui suffit plus. Quant à ses aguichantes avances de folie permanente, je passe mon tour pour le moment, car la liberté est à ce prix lorsque l’on a un mass murder au bout des doigts. Elle, elle me mâche, me recrache et me renvoie dans l’assiette avec les autres, avant le réveil-destin. Les mains dans le pétrin à avaler le purin en souriant jusqu’à en redemander en heures supplémentaires, je ne rentre pas dans le rang car je ne l’ai jamais quitté. Tout cela pour finir par prendre plus de distance que de recul.
Certains portent leur imagination autour du cou, la mienne, cette marâtre, prend toujours plus qu’elle ne donne, mais que ne ferait-on pas pour un rail d’évasion en solitaire, même en charter ? Quitte à ne jamais atteindre le sommeil paradoxal, autant être jetlagué de Frederic Taddéï à William Leymergie. Le problème de la drogue, ce n’est pas de décrocher, ce sont plutôt ses moyens de substitution. Merde, à force d’avoir des rêves en image de synthèse, en plastique, en Wifi, par abonnement avec un morphing et une laisse universelle à la clef, je finis par rêver éveillé et, pire, m’en satisfaire.
Ce soir, je ne trouve pas la nuit et encore moins un coma éthylique, la veine qui sépare mes sourcils froncés ne cesse de danser le derrière cambré en conviant mes tempes à l’agonie aux réjouissances tribales. Que quelqu’un fasse taire mon horloge biologique, avant que je ne coupe définitivement les fils qui ne se touchent plus depuis bien longtemps! Tout est une question de rythme et de mécanisme. Tout est une question d’habitudes et de fin. Je ne demande pas la paix, juste une pause, afin de reprendre mon souffle et d’y laisser mes forces.
Mais la trotteuse me tient en respect en m’agrippant par la partie la plus génocidaire de mon intimité. J’obtempère à ses moindres souhaits pour l’instant, enfin jusqu’au jour de ma vasectomie. D’ici là, on ne le fera plus pour obtenir la paix sociale entre le coït dominical et l’érotisme ménager, mais pour satisfaire le désir de la Chine, sûrement. La géopolitique, c’est comme le couple, c’est une question de latitude et de temps qui passe.
Bref, nous n’y sommes pas encore et j’émets quelques réserves raisonnables quant à mon éventuelle participation à l’affaire en question, la troisième guerre mondiale ne fera pas de prisonniers et le cholestérol non plus. Finalement, je crois que j’ai une montre dans la tête qui me laisse certes mon libre arbitre mais m’indique quand penser.
Le jour J à l’heure H. En pleine transe devant le Dieu écran, la vision trouble et décalée, je frotte nerveusement ma main droite déjà usée contre mon visage trop cabossé en espérant qu’il en jaillisse une idée ou tout du moins mon mauvais génie. Mais personne ne vient. Et quoi de plus logique, il me faudrait une cause à défendre ou un monde à dominer. Il y a trop d’empathie pour si peu d’amour, il y a trop de haters pour si peu de misanthropes.
Mon manque manifeste d’ambition «despotique pour le bien de tous» accrédite la thèse selon laquelle le globe est devenu un terrain vague sans frontières immobilières pour lesquelles mourir dignement.
Maintenant qu’il n’y a plus d’espoir de viol, tout le monde croit en la proctologie. La Terre préfère crever d’ennui que d’une crise cardiaque !
Je ne demande qu’un peu d’ingérence au milieu de cette xénophobie platonique. Mais cette époque de provocations toujours gratuites a accouché de manchots et de culs-de-jatte comme seuls belligérants. À partir de là, je ne distingue plus la légitime défense d’une réunion Tupperware.
Et plus le Journal Officiel façonne une société capitonnée, plus je me dis que je serais en sécurité dans un asile. Soyons dingues, avec un peu de chance j’y trouverais peut-être la folie qui me manque mais aussi le sommeil du juste que mon visage cabossé, ma main usée, mes tempes à l’agonie et ma veine centrale réclament à chacun de mes coups de sang devant le défilé perpétuel des problèmes de cœur et de cul de la grande Histoire des petits hommes !
Apparemment, j’ai une fosse commune à la place du cœur à tous vous regarder au passé, comme des meubles, mais il n’en est rien, je ne suis qu’un marchand de cibles qui distribue les balles…