je n’arrive pas à choisir entre le fait du prince et les frais bancaires
(Le préfet 0 – Le profit 1)
Archive for janvier 2009
La certitude du doute…
Posted in La certitude du doute..., tagged du directeur de la police de la Manche, e peu actif, Jean Charbonniaud, l'association CLCV, la facture des clients, La mutation du préfet, Le couple boursicoteur, le magazine Mieux Vivre Votre Argent, les tarifs à la carte, Les tarifs bancaires en baisse de 6%, mouvement préfectoral, petit consommateur, Philippe Bourgade, sans produit d'épargne, un package on janvier 31, 2009| Leave a Comment »
36 15 Me Myself & I : Votez pour le despotisme éclairé (enfin on peut rêver)
Posted in 36 15 Me Myself & I, tagged 25 % d’intention de vote, ASVEL, élections municipales 2008, Buers, Charles Hernu, Gare de la Part- Dieu, Gnafron, Grenelle de l’environnement, Guignol, Henri Chabert, Henry Chabert, IUT Feyssine, Jean-Paul Bret, Jedi, Lando Calrissian, Les électeurs de 2007, MoDem, place Charpennes, Progrès, Richard Morales, Ségolène Royal, Second Life, Steve Jobs, The Hunt, Vaux-en-Velin, Villeurbanne on janvier 30, 2009| Leave a Comment »
Les flashbacks du rétroviseur : souvenir des élections municipales 2008, Villeurbanne cherche maire et électeurs…
je fus expulsé manu militari du TGV
Mardi 26 Février 2008 – 10 h 54 – Gare de la Part- Dieu
étudiants de l’IUT Feyssine
État des lieux et trajectoires parallèles :
J’étais encore en plein sommeil paradoxal, mais je fus expulsé manu militari du TGV par le flow et le flux de la race des commerciaux aux kits mains libres greffés à même l’acouphène et l’attaché case en guise d’appendice de reproduction.
En pilotage automatique, au ralenti, sur le quai je continue mes tractations dans la langue de l’administration avec la préfecture afin d’obtenir la liste des candidats aux municipales de Villeurbanne, avant le second tour, si possible, en français, s’il vous plaît…
Le temps d’un trajet de tramway et d’une marche à pied forcée par une invasion d’étudiants de l’IUT Feyssine montés sur mégaphone.
Mon aversion pour le bruit me faisant fuir mon moyen de transport à la place Charpennes, me revoilà en terre Villeurbannaise où la fièvre des municipales ne semble pas avoir gagné grand monde, si ce n’est trois sexagénaires qui attendent le temps et les deux pigeons qui les écoutent.
Henry Chabert
Les faits divers et revue des troupes :
Le tumulte électoral a été botté en touche par les mots d’Henry Chabert qui, la veille, d’après les bouches usées, voulait couper les subventions à la fierté sportive locale, l’ASVEL, alors les retraités reparlent de la coupe d’Europe de basket-ball.
Point d’évocation de programmes à l’horizon, seuls les acteurs du triolisme sont plus ou moins connus, Jean-Paul Bret dans le rôle de Jabba The Hunt, Henri Chabert joue Lando Calrissian et Richard Morales le Jedi local du MoDem.
Les seconds couteaux devront attendre patiemment leur heure de gloire dans les pages banlieue du Progrès du lendemain.
La chasse aux candidats est ouverte : sit-in devant les locaux de campagne s’ils existent, leçon de standardisme par téléphonie mobile, nerderie et spaming par mail, surveillance et mise sur écoute de boîtes postales, usage de la télépathie, réunions publiques pour V.I.P…
aux Buers
Les électeurs potentiels et téléspectateurs en puissance :
De sporadiques rendez-vous plus tard et quelques doléances laissées nonchalamment place Charles Hernu, je me dirige vers le quartier anciennement sensible, nouvellement populaire des Buers, où Ségolène Royal est passée en speed-dating médiatique après avoir flirté avec Vaux-en-Velin.
Sur place l’accueil est mitigé dans la hiérarchie des médias aux Buers, celui qui vient dépourvu d’une camera n’est pas journaliste. De plus, où est l’équipe censée occuper l’espace ?
Ne demandant pas quelles étaient leurs souffrances ou leurs espoirs, mais plus leurs ambitions pour la ville, la mission n’est pas un franc succès et le micro reste bien seul, à la question « Qui est le maire ? ».
Jean Paul Bret
Question pour un champion et déserteurs avérés :
Qui sont les candidats et qu’est ce qu’un maire ?
Les réponses évasives d’il y a quelques années ont laissé place à la culture savante des journaux gratuits.
Jean Paul Bret, réponse correcte.
Description du maire : entité mi-omnipotente, mi-mythologique, toujours invisible. Les électeurs de 2007 ne seront apparemment pas ceux de 2008, car à Villeurbanne, il semblerait que l’on vote contre et que l’on s’abstienne pour.
un investissement pour Second Life
Les candidats annexes et futur dépassé :
Les quelques candidats capturés connaissent le Grand Lyon, mais ne doivent pas souvent lui parler. Plus qu’une élection locale, c’est la fragmentation imaginaire des territoires qui occupe le terrain. Nous sommes dans l’ère des niches. Les chenils doivent être à l’abandon à en croire les Villeurbannais, la ville est une vue de l’esprit, au mieux un investissement pour Second Life.
La vallée technologie et l’éco quartier appartiennent à Steve Jobs et au Grenelle de l’environnement, ça n’est pas réel, c’est idéal et dans la banlieue assoupie de Villeurbanne, on vit dans, pour et par la moyenne.
Jeudi 28 Février 2008 – 18 H 00 – La brasserie du théâtre
quotas d’invectives feutrées
L’heure de la pesée et l’art de la paralysie :
Ceux qui cohabitent au quotidien avec les 2 grammes d’alcool dans le sang avant le déjeuner vont côtoyer ceux qui tutoient les 25 % d’intention de vote.
La pièce commence, les Je du cirque, la partition est suivie à la note près, quotas d’invectives feutrées, chiffres parlant mieux que leurs commanditaires, montées éphémères de testostérone. Les sourires font les façades, seuls les abstentionnistes professionnels ponctuent l’émission de boutades de comptoir.
Les citoyens actifs sont aux abonnés absents et les belligérants ont massé leur troupe dans l’espace fermenté.
Tous pour ne pas répondre aux questions, les morts, l’histoire et les paternités inopinées sont invoquées pour meubler la joute, entre la junte des uns et la rébellion des autres se trouvent les mêmes données évoquant le conditionnel, l’impératif tout en omettant le présent.
Guignol et Gnafron ont réjoui leur auditoire
Spectacle vivant et agent dormant :
Fin du spectacle, il continuera sa tournée dans une autre ville dès lundi, Guignol et Gnafron ont réjoui leur auditoire, peut être les auditeurs.
La diversité diplômée et communicante a conclu l’émission avec l’éloquence des plus éminents des bègue. C’est l’heure du rappel, les handicapés manquaient au casting de la différence.
Les camps opposés diamétralement identiques s’évaporent à chaque poignée de main, tout en laissant le décor ivre à ces piliers.
http://www.dailymotion.com/souklayesylvain
La certitude du doute…
Posted in La certitude du doute..., tagged 2020, 4 milliards d'euros, 58 réacteurs nucléaires, Areva, deuxième de la course, entrale nucléaire EPR à Penly, GDF SUEZ sera associé à ce projet, Jourdain, Le skippeur, les Açores et l’île de São Miguel, Michel Desjoyeaux, mouvements écologistes, Seine-Maritime, Sortir du nucléaire, une technologie franco-allemande on janvier 30, 2009| Leave a Comment »
Je n’arrive pas à choisir entre l’inutile et le nécessaire
(Vendée Globe 0 – Centrale Nucléaire EPR 1)
La certitude du doute…
Posted in La certitude du doute..., tagged 29 javier 2009, ervice maximum, france 2, grêve, julien courbet, le droit du travail, redevance 120 euro, service minimum on janvier 28, 2009| 2 Comments »
Je n’arrive pas à choisir entre Le service maximum et Le service minimum
(Julien Courbet 0 – 29 janvier 1)
36 15 Me Myself & I : Sncf : À nous de vous faire préférer les punks à chien(s) (Partie 2)
Posted in 36 15 Me Myself & I, tagged A.N.P.E., brice hortefeux, chocobon, commerçants, controleurs sncf, coupe du monde 1998, eric besson, fiac, grand corps malade, l'entrecote, nastase, obama, racailles, racisme, restaurant, service, T.E.R., toilette, toulouse, train, Zidane on janvier 27, 2009| 4 Comments »
« Mon périple dans le ghetto de Nougaro »
Un léger rappel concernant mon séjour à Toulouse, celui-ci va éclairer ma posture à la montée dans le train, ou plus précisément un T.E.R.
Durant mon périple dans le ghetto de Nougaro, j’ai redécouvert le racisme banal et culturel. J’étais habitué depuis quelques années à des joutes plus idéologiques ou qui flirtaient avec le situationnisme, ce genre de débat où l’on parle de ségrégation dans une ambiance feutrée autour d’une tasse de thé et quelques Shortbread.
Mais là quelle ne fut pas ma déception. Certes venir accompagné d’une personne ressemblant plus à un arabe qu’à un gascon, mais aussi d’avoir emporté un représentant d’une obédience élue, ce n’était déjà pas la plus belle des entrées en matière dans la France plurielle post coupe du monde 1998 à l’universalisme de supermarché et aux Zidanneries d’usages. J’avoue que votre serviteur s’est présenté en costume de noir, enfin de nègre, pas le modèle Obama, le vrai, celui qui ne gagne pas les élections et qui pointe à L’A.N.P.E.
« Dans chaque restaurant une place au fond nous était spécialement réservée »
Un petit florilège, pardon, nous sommes sur un blog;
Alors voici un petit best of du calvaire, dans chaque restaurant une place au fond nous était spécialement réservée alors que les places vers les fenêtres et que des tables désertées attendaient preneurs à la vue de tous. On se serait cru revenir au bon temps des colonies (j’attends que quelqu’un fasse une reprise de ce titre à l’assemblé nationale ou à l’office du tourisme), des silences maladroits, des regards de base faits de peur ou de haine de l’autre, rien que les fondamentaux des coutumes locales. Avec 28 ans d’expérience on les reconnaît. Je peux comprendre, ceci étant chacun ses lubies. Moi, par exemple je n’aime pas les gens. Enfin bref, le service sur place s’est déroulé ainsi, ni bonjour, ni au revoir, ni merde.
Mais c’est peut-être de ma faute, j’avais troqué mes chemises en soie, ma veste Agnès b et mes chaussures en cuire Brésiliens contre un jeans fripé, une paire de Nastas et un t-shirt logotype un peu trop large, tout ceci dans le but vain d’être à l’aise.
Paranoïa ? Malheureusement non, j’ai lutté deux jours entiers avant d’admettre la vérité : qu’est ce qu’on est bien à Paris avec son hypocrisie institutionnelle, son pathétique humanisme gauchiste, son paternalismes intemporel pour ne pas dire autre chose et surtout ce trop de cultures de niche qui crée de la proximité factice entre tous avec cette certitude de vivre dans une backroom à ciel ouvert.
« Un niveau d’insécurité digne du droit de savoir »
C’est d’un air décidé, avec une banane antillaise bien sûr dans la main droite, une demi douzaine de femmes non consentantes au bras gauche, un album de rap dogmatique des Finkielkraut du 9.3. dans le casque, mon sexe correspondant à la norme des fantasmes en vigueur en mode expédition punitive, un bras de missionnaire du XVIIIe siècle ou une main d’un commerçant toulousain dans la bouche, des onomatopées primitives et des bribes de dialectes étrangers (lyonnais ou lillois) dans la bouche et un niveau d’insécurité digne du droit de savoir durant une période électorale dans le regard que je rentre dans le train avec la démarche de Grand Corps Malade.
« Nous sommes dans cette arche de Noé trop honorée pour jouer à la vierge effarouchée »
L’attente dans le train :
Près de trente minutes avant le départ, me voilà avec mes comparses en criminalité lounge selon la vindicte locale. Nous sommes dans cette arche de Noé trop honorée pour jouer à la vierge effarouchée, rouillée par un dérèglement climatique intempestif, souillée par des séants trop gras dépourvus de packaging de créateurs en vogue, des chaussures ingrates qui utilisent les transports en commun contaminant le couloir d’évacuation enfin, si je puis dire…
1H05 de retard et un trajet rallongé de 2H30, avec l’occasion unique de faire un tour de la France dite profonde, où l’on perpétue les joies bien légitimes de la ratonnade.
Une voix putassière entre la téléphonie rose et l’astrologie à 0,34 ct d’euro la minute nous indique sans ménagement aucun, qu’au cas échant si nous n’avions pas de réservation sur ce train, nous devions quitter les lieux avant l’intervention de Brice Hortefeux, pardon avant l’intervention d’Eric Besson. Après 3 jours de diplomatie et de négociation ardue avec ma testostérone, il était hors de question rester deux heures de plus dans la capitale internationale des punks à chiens.
Plus les minutes défilèrent, plus les contrôleurs s’amoncelèrent tels des mouches autour d’une merde ou du gagnant de la semaine concernant le jeu concours sur le nombre d’amendes distribuées. Bref, tant de perspicacité bovine, d’esprit d’initiative corporatiste et de déontologie en roue libre car, sans heures supplémentaires payées, ça force le respect… ou pas.
« Ce refuge imaginaire où l’on peut s’épancher sur ce triste monde »
Les toilettes, ce refuge imaginaire où l’on peut s’épancher sur ce triste monde tout en donnant sa contribution au fumier de la pire espèce, ha, je me suis dirigé vers elles naïvement, le cul léger avant le départ du train, et que ne fut pas ma surprise une armée de Chocobon flottaient péniblement recouverts d’un drap blanc comme certaines œuvres présentées à la FIAC, le tout baignant dans une future épreuve d’une émission de téléréalité.
« Les usagers »
Les usagers, je reviendrai demain sur eux dans la troisième et dernière partie. Mais je ne peux résister à une présentation succincte de quelques catégories : premièrement, les sans avis mixtes par nature, frustrés par fonction qui attendent d’être deux pour ouvrir l’usine à banalité qui leur sert de bouche, secondo, les énervés près à en découdre avec qui touchera leur siège, près à sacrifier femme, enfants et téléphone portable au nom de leur orgueil tout juste retrouvé à ce moment où ils sont à fleur de peau, dans le rôle du dernier maillon de la chienne alimentaire redevenant un gibier entre les mains de Gaïa la bipolaire, tertio, les pires, les cyniques qui scrutent la moindre étincelle afin de trouver de la matière pour leur blog au mieux ou pour un échange inutile dans un ascenseur au pire.
Ghost Post : Une Toulousaine qui a promis l’enfer aux non chrétiens, nous l’avons suivie.
La fragilité de la folie a donnée un peu d’humanité à la ville
La certitude du doute…
Posted in La certitude du doute..., tagged accident prémédité, catastrophe naturelle, météo france, météofrance, monoxyde de carbonne on janvier 27, 2009| Leave a Comment »
Je n’arrive pas à choisir entre la catastrophe naturelle et l’accident prémédité
(Météo France 0 – Monoxyde de carbone 1)
36 15 Me Myself & I : Sncf : À nous de vous faire préférer les punks à chien(s) (Partie 1)
Posted in 36 15 Me Myself & I on janvier 26, 2009| 3 Comments »
le point de convergence improbable des punks à chien(s) locaux et de la petite racaillerie victimaire
La gare de Toulouse Matabiau :
Ce noble bâtiment de gestion de flux est, en outre, le point de convergence improbable des punks à chien(s) locaux et de la petite racaillerie victimaire, mais il est aussi accessoirement par la force des choses ou plutôt des éléments le lieu de retrouvailles de trop nombreux rescapés du cyclone de poche de samedi dernier.
Quelque part entre le troupeau dans une dérive contrôlée et un village somalien. Non ce n’est plus à la mode, recommençons !
Quelque part entre le troupeau dans une dérive contrôlée et un village soudanais post-Kouchner devant le reste de la carcasse d’Amy Winehouse.
Brouhaha de comblage, maugréments d’animaux civilisés, affolements mis en scène, évanouissements mal joués, indignations de circonstance : la masse dans toute sa splendeur.
Dans l’urgence, l’Homme moderne repasse de l’ère trop évidente des réseaux sociaux à l’hypothétique cannibalisme de meute.
un ou deux analphabètes, taille boudin en guise de figurante
Les points de renseignements :
Check point… Enfin, relativisons. Un point d’information, l’atlantisme en moins.
Un gros logo qui a dû engraisser une agence de communication, quelques bouts de carton homologués par Jean-louis Borloo et un ou deux analphabètes, taille boudin en guise de figurante ou de PLV sur échasse.
Puis un message retentit : “Face à la demande croissante et précise de la part des usagers concernant un éventuel départ, la Sncf vous signale qu’elle vous emmerde cordialement”
la désignation produit des pensionnaires du zoo de la gare de Toulouse Matabiau
Visite guidée des prétendants au départ :
Concernant la désignation produit des pensionnaires du zoo de la gare de Toulouse Matabiau, on peut dénombrer pas moins de douze belles-filles feignant des adieux déchirants avec les géniteurs du locataire du côté droit de leur lit, on pouvait également voir une foultitude de monogames dont l’une de deux parties attendait patiemment le départ du train pour pratiquer l’adultère à même le train s’il le faut, une fois la distance suffisante pour faire disparaître la culpabilité accomplie.
Dans cette multitude de gens du voyage, il y aussi les grands classiques, les enfants hyper actifs qui mériteraient une laisse ainsi que un SPA spécialisé voir même un aller retour paume/phalange une fois la dictature de l’enfant Roi renversée ; les anticonformistes de service ; des quadragénaires ou plus si infinité dénonçant l’inertie de la Sncf tout en ayant leur carte grand voyageur.
N’oublions pas les stratèges, les parents munis d’un kit de survie en cas d’attaque bactériologique en provenance de Suisse ou de Monaco, ils ont tout prévu sauf de replier leur poussette à la con qui, en cas d’encombrement, perd tout son côté fonctionnel et surtout en dit long sur le profil des décideurs à la Scnf.
Ceci étant, afin de rentabiliser cette attente et donner un peu d’humilité à ces parents sûrs de leurs faits, pourquoi ne pas promouvoir le concept du “Poussette-Jacking” ?
n’importe quel connard de saison écrivant un blog quelconque
Les beaufs traditionnels ayant dépensé les économies pour les études supérieures du petit dernier contre un week-end couleur Dunkerque et un palace Formule 1 en bordure d’autoroute. Sans s’en rendre compte, ils côtoient les néo beaufs étudiants faisant un master de com’, de psycho ou de socio trépignant avant l’arrivée du train pour brancher leur ordinateur portable pour y regarder la dernière série Z à la mode en VOST, pour leur faire oublier l’intermittence de leur misère affective et effective. Mais en attendant, ils scrutent le regard vide le tableau d’affichage en écoutant sur leur Ipod acheté pour les soldes de la musique bon marché recommandée par le mauvais goût d’un éditorialiste, d’un magazine hebdomadaire où n’importe quel connard de saison écrivant un blog quelconque.
Et moi, et moi, et moi (marque déposée), je suis planté à observer mon prochain dans son costume d’objet social, j’en suis à espérer le despotisme éclairé où une privatisation du rail Français car au moins, comme en Angleterre, il y aurait de vraies catastrophes et tous ces gens auraient de quoi réellement se plaindre.
Pfff, bientôt plus de batterie sur mon portable, je ne pourrai donc pas appeler qui que ce soit sans utiliser les espaces consacrés à cet effet dans le train, je m’en prendrai donc aux passagers, il y aura peut-être quelques spécimens de gauche en voix d’extinction ou mieux, des partisans de Benoît Hamon…
ou mieux, des partisans de Benoît Hamon
Demain partie 2 dans le train…Enfin
La certitude du doute…
Posted in La certitude du doute..., tagged bce, Christian Noyer, coma, commissariat de Courbevoie, garde à vue, Inspection générale des services (IGS), l'activité économique, l'Eurosystème, La Banque centrale européenne, le procureur de la République de Nanterre, PLAIE AU THORAX, Une zone on janvier 26, 2009| Leave a Comment »
Je n’arrive pas à choisir entre un bouclier économique et un punching ball organique
(Jean-claude Trichet 0 – Abou Bakari Tandia 1)