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Archive for décembre 2008

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Endtroducing : vedettariat et anonymat, deux poids, deux mesures, le crime si paie s’il on en a les moyens

Prenez Place Les Enfants & venez écouter ou entendre l’histoire avec un H moyen…

Il était une fois : vedettariat et anonymat, deux poids, deux mesures, le crime si paie s’il on en a les moyens :

Etymologiquement :

> vedettariat
(nom masculin)
Condition de vedette.• Attitude d’une vedette.• Système commercial, médiatique, fondé sur les vedettes.

> anonymat
(nom masculin)
Etat de ce qui reste anonyme, de ce dont on ignore le nom.

vedettariat et anonymat, deux poids, deux mesures, le crime paie si on en a les moyens, le vedettariat est un état, qui par la même s’impose aux autres, l’anonymat ce n’est pas se cacher, mais être caché, les actions des uns et des autres n’ont pas la même incidence, l’impunité existe pour et par ceux qui ont les moyens, la justice égalitaire fait des exemples uniquement pas des généralités.

Mais il y a deux poids, deux mesures et quelques contre temps, la représentation de l’image octroi des droits aux diffuseurs que le récepteur accepte et parfois jusfifie par culte de l’individu objet.

Ce poncif passé passons à ce que le con crée…

vedettariat et anonymat, deux poids, deux mesures, le crime paie si on en a les moyens, les uns ont en besoin pour se vivre, les autres ont en l’envie pour vivre, le vedettariat installe la notion de dominant et de dominé dans le registre du divertissement, l’anonymat peut posséder une part de vedettariat dans de produits culturel dérivé sous cellophane.

Certes tout ce qui brille n’est pas de l’or , mais notre modèle sociétal instaure l’ère du zirconium comme un label de qualité, la fascination du quidam moyen pour les couverture des magazines people relève plus, du désir de croire, que du voyeurisme banal et original.

La survie de quelques uns, permets aux autres de rester sous assistance respiratoire toute leur vie, d’ou le déséquilibre, on s’intéresse plus au pourquoi du comment des actes des sociétaires du vedettariat plus que les conséquences de leur agissements.

L’anonymat, n’est pas la carrière la plus prisé, mais en réfléchissant lui voir uniquement des visés péjoratives est un peu simple, voir simpliste, ne pas être connu devient un échec, c’est d’être vu qui compte, et non de se voir, si vous aviez le choix d’un vedettariat lequel serai t il ?

Etre Barack Obama et se faire passer pour nègre : réponse A

Écrire sur son blog des commentaires assassins sur Mickel Vendetta et faire dans l’indignation et la déonthologie : réponse B

Ou effectuer des attouchements sur une hôtesse de l’air , tout en frappant l’équipage et femme en prime tout ceci avec la complicité de madame tranquillisant et de Mr frelaté en respectant le petit JoeyStarr illustré comme l’a fait jadis Jean-Luc de la rue : réponse C

Les 5 secondes se sont écoulés entre la vignette et la devinette, vous avez choisi votre parti…

vedettariat et anonymat, deux poids, deux mesures, le crime paie si on en a les moyens, rappelez vous bien, 3 journée de citoyenneté au programme de condamnation de jean Luc de la rue, en prime il a déjà un sujet pour l’une de ces prochaines émissions.

Il nous prouve par la présente que l’image qui aurai pu le desservir à finit par payé combien de couverture de magazine ont étayé la théorie de la détresse de la dépression, alors que nous avons à faire à un pétage de plomb classique issu du vedettariat, l’accessit du sommet côtoie si souvent le gouffre, que la terre du milieu devient un purgatoire, ou l’on expie comme on le peut.

Vol aérien ou pas, point d’analyse psky-sociologie, nous sommes dans le domaine de l’iconographie, ne cassons pas les rêves, Jean-luc de la rue est un indice pour stipuler que la valeur du spectacle est équivalente à la cotation des bons sentiments.

Alors du coté de l’anonymat, on peut se dire que Richard Durne est une preuve que la démocratie participative fonctionne…

Mieux vaut être un con vaincu qu’un cul vacant :

vedettariat et anonymat, deux poids, deux mesures, le crime paie si on en a les moyens, ce soir dans « ça se discute », je parle des problèmes des autres pour cacher mes névroses, j’expose une galerie d’anonymes, en leur confèrant dans un moment éphémère le droit à la parole.

Une compassion de façade à travers le reflet de ces lunettes, l’audience lui dicte à l’oreille les orientations que doivent prendre ses rides sur ce visage psychorigide, durant cette émission nous aurons parler, échanger et découvert, l’autre, je suis le soleil et vous etes les satellites, pourquoi le soleil demanderai t il leur avis au satellite…

Pour se prouver une fois de plus qu’il existe et qu’on le voit d’aussi loin qu’il le pense.

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Me, Myself & I ou Le soliloque Particifactice

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Endtroducing : Débat particifactice ou l’hégémonie du dialogue de sourds

Prenez Place Les Enfants & venez écouter ou entendre l’histoire avec un H moyen…

Il était une fois, Le Monologue participatif ou l’hégémonie du dialogue de sourds

Etymologiquement :

Débat
(nom masculin)
action de bébattre.

Un débat est une discussion (constructive faut il précisé) sur un sujet, précis ou de fond, annoncé à l’avance, à laquelle prennent part des individus (majoritaire ou minoritaire, visible ou invisible) ayant des avis, idées, réflexions ou opinions divergentes (ou convergente dans la synthèse médiatique) pour le sujet considéré.

Un débat peut s’exprimer sous diverses formes, la plus courante étant la réunion en un même endroit des personnes physiques mais il existe des débat sur le Web, des débats par vidéoconférence d’après la société de consommation ou téléconférence ou sms ou encore des débats spirituels qui échappent aux lois cartésiennes ou rationnelles, ces dernières appartiennent à l’époque hérétique des 70’s

Le Débat particifactice ou l’hégémonie du dialogue de sourds ,c’est le projet d’échange d’idées que propose les périodes électorales aux actionnaires du conseil d’administration, vous.

Nous, nous avons le choix d’appartenir à un ensemble de réflexions sur des problématiques explicitées par les faits d’hivers et de début de printemps, vous etes excusé durant l’été et pensez à vos congés payés, celui qui gouverne ment, travail à son assise depuis sa cour.

Tu as le choix (génétique) d’avoir un avis et d’y participer ou de te taire en étant un mauvais citoyen français ou un jeune déclinologue de banlieues, le débat extime par essence et particifactice par pragmatisme communiquant, initie une nouvelle ère la dictature du débat que l’on peut standardiser par besoin de rien, envie de quoi ? comme jamais envie de personne.

Ce poncif passé passons à ce que le con crée…

Aujourd’hui , ont a plus le droit d’arriver à nos fins, par la foi, traduction dieu ne sauvera pas nos chères oies enarquiènne de la débâcle institutionnelle qui se prépare perpétuellement, pendant que le navire franco/allemand démocratique coule au milieu d’un no man’s land économique, ni les rats, ni les femmes, ni les enfants, ni le ministère de l’égalité et des chance (sponsorisé par la française des jeux), ni celui de l’immigration et de l’identité nationale (parrainé par les voles charters et la torture façon gégène en haut débit) ne quitteront le rafiau républicain.

A ce point critique de notre conversation pour vos vieux jours, entre le réchauffement de la planète que chacun aura oublié son séant se crachant sur la plage, une 3ème guerre mondial propre vital afin d’équilibrer les contes de l’unédic et la réédition de l’œuvre complète de steeve boulay en édition de poche, opterez vous pour SDF ou ISF comme sigle ?

Les 5 secondes ce sont écoulées entre le vignette et de la devinette vous avez choisis votre parti…

Quitte à voter pour un candidat et un programme politique pour 5 voir 10 ans.

Pourquoi le peuple ne serait il pas par la présente le service après vente idéal, comment mettre en accusation ce que l’on a commis au yeux de tous, même des énuclées d’après un certain borgne en fin de carrière, mais pour cela il faudrait compter sur la conscience et la morale du quidam de base pléonasme en matière de législature et d’exécutif, ce qui d’après george besse et pierre beregovoy est une balle perdue.

Ainsi pour commanditer le crime parfait, invitons la victime à un dîner ou plutôt un Débat particifactice de con avec un mode d’emploi de son suicide, vous avez eu le choix d’avoir la parole, de participer à l’éducation civique de notre pays (hors dom-tom, cela va de soi sauf le 10 mai), et de vous assouvir dans le rôle de délateur en puissance hors de l’isoloir, entendez le son des bottes claquer près des halles d’entrés et cages d’escaliers

Avoir la culture de ses moyens et les moyens de sa culture…

Entre être ou avoir afin de posséder son logis, il faut choisir…
A présent vous avez acheté et vous etes devenu propriétaire d’une part de la démocratie en votant, venez aux frais de la princesse, c’est à dire vous, vous visiterez une maison témoin durant 5 ans, pour vous faire, un avis, une idée, sur mesure cela va de soit, façonnée par nos menuisiers éditorialistes , radio, presse, télé, qui sont des expert con-vaincu et reconnu.

Nous vous laissons le choix des larmes, ceci étant , nous , vos dirigeants, nous sommes quelques peu inquiets, du non l’abstentionnisme, ce qui nous fait dire, par voix de presse et cette tireuse d’ambulance vox populi, que la classe politique, s’est perdu dans votre estime, nous en sommes peiné.

Mais votre participation, et si primitive et non idéologique, elle est vitale à l’équilibre du pays, donc à votre survie, l’argument publicitaire de notre déresponsabilisation par l’absentéisme ayant touché à sa fin de cycle, nous reprenons de le jeu des ficelles du dialogue ou du string, tu aura toujours le choix de la couleur de tes liens sous les projecteurs des sondages…

C’est peut-être réellement cela, la définition du pays des lumières…
Vous avez le choix des urnes mes chers clients, parole de croc mort

Mieux vaut être un con vaincu qu’un cul vacant :

Aux larmes cit-moyen, former les sauvageons, téléchargeons, téléchargeons q’un son impur, abreuve nos si on… (nous n’avions pas concrétisé une bévu).

Pour ceux ne qui ne croient qu’en ce qui télécharge, de blog en myspace puis en facebook, c’est la démocratie des mots crasseux, chacun débat avec lui même et se forge son avis sur lui même c’est le règne du sonotone, quand même le rythme l’avenir d’une génération entre vie (sous perfusion) et mort (clinique) devient monotone.

La lecture des sens et le sens des lectures :

Gagner ou perdre, la n’est pas la question, ici réside la réponse.

C’est l’objet et non l’objecteur qui est en jeu, qui est en je, les dégâts collatéraux seront légion, l’histoire des Hommes à disparu au profit des promulgateurs de mémoires, la nation n’est plus indivisible, maintenant il y a des uns, des visibles…
Et peut être encore même quelques français.

Laids Maux de la faim : Pourquoi lire, ce qui ne se comprend pas, Pourquoi lire ceux qui ne comprennent plus…

« Quand le sens joue la représentation et ne se joue plus d’elle, l’expression relève de la schizophrénie éditoriale…
Quand les mots deviennent victimes de leur agressions, pour mieux se déresponsabiliser, on ne lit plus entre les lignes, on se perd dans le blanc que laisse es médias, les avis sont vide de but, ils coexistent avec leur contraires pour contraindre l’esprit une différence de façade.

Le semblable à le regard de l’unique, des une de journaux vendant l’avenir déguiser en fait, de petit être à penser de leur blessures politique d’enfance, s’analysent sous nos yeux, pourrait il rembourser nos abonnement en contre partie de la consultation »

 

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Désignation produit

Pour ceux qui n’ont pas réussi à partir en fumée avant 25 ans, au zénith de la folie périphérique et ceux flirtant avec la trentaine, la mort au ralenti et à répétition, trop prudents pour contracter le sida et trop pragmatiques pour souscrire à une assurance vie.

À ne plus manquer de rien, un abonnement internet, un toit, des fiches de paix, avoir le luxe d’être enfin tué par le temps et plus l’inverse.

Je pourrai oublier mes tours verticales et leur mythologie quinquennale, ma haine autodidacte, l’acceptabilité du racisme culturel, la saveur de l’acier, les sombres heures à louer les bancs, mes démons enracinés vers le ciel, la peur enfantine de la nuit, la bible sur la table de chevet et l’amour du bois dans ma chair.

Les masques sont légion, religions dans ce post-modernisme à portée de rien, la société du divertissement crée des monstres à la hauteur des phobies de l’image, dans le siècle des liens disjoints comme preuve de bonne santé morale, le cycle du marketing communautaire allant des backrooms idéologiques aux sanctuaires du jeunisme, le règne du compassionnel en Kleenex, en programme télévisuel, l’avènement du victimaire en commémorations calibrables selon le bruit et l’odeur du charnier.

Ancien humain, ancien nègre, ancien banlieusard, ancien placebo, nouveau schizophrène cherchant son autoportrait, nouveau kamikaze sans cause ni case, nouveau membre d’une race en voix d’expansion, nouveau poète sans bohême bon marché ni signes extérieurs de faiblesse.

Mode d’emploi du produit

… Entre un carnet de tords et la confession extime, entre les comptines adultérines et les faits divers si tu as la majorité sensorielle, entre la folie salvatrice et la raison suicidaire, entre la haine de la terre et l’amour de langue, entre l’overdose technologique et le besoin de retour aux sources, entre une mémoire irréelle et une histoire imaginaire, entre le goût du sang et la chaleur d’une âme, entre la machine humaine et les poupées tristes, entre le droit de l’hommisme caritatif et le despotisme éclairé, entre le créationnisme politique et l’activisme de salon, entre une éponge originale et la différence d’usine, entre les fantômes et les avatars, entre le culte du passé et la nostalgie de l’avenir…

http://www.dailymotion.com/souklayesylvain

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